En coulisses

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De l’extérieur, tout peut sembler à l’arrêt. Il y a eu l’arrivée une chaude nuit de novembre, la fête martiniquaise, le retour en métropole, les bras qu’on lève une dernière fois au Salon du nautisme, l’équipée enthousiaste dans le Nord pour aller à la rencontre des équipes de mes partenaires, et puis silence radio… comme un black-out électronique après un grain violent. Il est vertigineux ce contraste, après l’effervescence des pontons, le flot ininterrompu de paroles, les émotions d’une intensité folle, les innombrables poignées de mains (c’était avant le coronavirus !)…

Pourtant, comme tout projet d’envergure, toute entreprise qui s’élabore patiemment, la course au large ne se résume pas à ces quelques moments d’agitation. C’est bien sûr ce qui motive, ce qui donne envie d’attaquer chaque jour, d’aller repousser toujours plus loin ses limites et celles du bateau. Mais à l’échelle de l’ensemble de l’Aventure, ils paraissent presque anecdotiques : un mois à peine, sur plus de trois ans de projet…

Alors certes, les étapes précédentes font un peu moins rêver. Moins de moulures au plafond ou de paillettes, comme diraient certains ! Elles sont aussi parfois moins photogéniques, moins racontables, moins vendeuses peut-être. Pourtant, elles font pleinement partie du processus, et participent à faire de ces projets des histoires aussi passionnantes, exigeantes et addictives. 

  

Ca cogite, ça pousse, ça tire, ça retape, ça isole, ça rafistole, ça trie, ça range, ça récupère, etc...

Je vous ai caché des choses. En coulisses, c’est tout sauf le calme plat. Grâce à quelques personnes incroyables dont j’ai eu l’immense privilège de croiser la route, ma boîte mail n’a jamais été aussi pleine, mon téléphone n’arrête pas de sonner, les rendez-vous s’enchaînent et il faut parfois que je me rappelle de lever la tête pour regarder la couleur du ciel (remarque en ce moment, il y a peu de suspense, on reste sur un camaïeu de gris). 

Comme rester assis devant un écran n’est pas franchement l’exercice où je me sens le plus à l’aise, j’en profite aussi pour aller me défouler au chantier jusque tard le soir pour un grand ménage de printemps… C’est qu’il va y avoir bientôt besoin de place !

J’ai hâte de vous raconter tout ce qui se trame. Parce que les coulisses sont tout aussi enthousiasmantes que les aboutissements, comme lorsqu’on découvre derrière un objet anodin toutes les étapes et les cerveaux qui ont bouillonné pour en arriver à le concevoir. Et surtout parce que j’ai envie de partager tout ce qui m’anime avec vous, qui me suivez avec tant de  bienveillance à chaque nouveau pas.

Avant le départ de la Mini-Transat, je me répétais souvent que pour gagner, il fallait réussir à aligner les planètes. Malgré une nouvelle transatlantique à contempler bouche bée la voûte céleste chaque nuit, je n’ai pas beaucoup progressé en astronomie… mais je peux vous dire que j’ai l’impression d’avoir une sacrée bonne étoile au-dessus de ma tête !  

Un bon coup de propre pour un Max de place pour l'avenir ! 

 

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